DE STAEL vu par CLAUDE
La contemplation d'un ciel violent, efface la tristesse...
Si simple et lointaine dans sa posture oblique
Alanguie sur son lit blanc
Glacis de ce corps bleui
Sous les paupières closes
Perce le ciel rouge, aube-colère
Bouge ! Crie-t-elle
Se redressant, légère, marche sur les vagues blanches,
Glisse vers l’aurore rougeoyante
Laissant on ne sait comment
Se détacher la mélancolie.
Claude
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