ATTENTE de JULIETTE
Je t’ai écris il y a longtemps, si longtemps, ces mots aimants …
« Le baiser-papillon butine tes paupières étirées d'une caresse tendre »
Tu as gardé le silence,
tu n’as pas frémi sous ce voluptueux frôlement,
et pourtant ,
ce « baiser-papillon » espérait
continuer son chemin,
de lèvres en tendre cou,
de cou en fragile peau,
de peau frémissante en main,
de main légère en doigts longs,
pour déposer enfin
leur poudre d’or et de délices
en ce lieu de désir odorant,
LÀ, où tu sais…
oui LÀ…..
Juliette